Samedi 29 janvier arrivée
Nous n’avons pas eu besoin de mettre les chaines pour accéder au chalet. Tout le monde est bien arrivé et nous nous retrouvons dans une salle à l’heure de l’apéritif pour les explications sur le fonctionnement du chalet avec Laurent le propriétaire.
Premier jour 13 km, dénivelé 402 m
Présents 15 randonneurs, Agnès et Alain nous rejoindrons le lendemain.
Rencontre avec nos guides Yoann et Yann.
Initiation à la reconnaissance des traces des animaux, le guide nous fait une démonstration en faisant le « grand lièvre bleu «
Nous atteignons un sommet où la vue est spectaculaire, lac Leman, Thonon les bains, Ivoire, les Alpes.
Le guide nous cite les Combes puis le col de la GIVRINE, le mont Blanc, la chaine des Aravis….
Notre photographe Monique, fait une chute au moment où elle veut prendre une photo du groupe.
Le soir nous aurons une choucroute pour nous réconforter.
Jacqueline et Titi
Deuxième jour 5 km le matin D = 173 m et 5 km l’AM D = 182 m
Les jours se suivent et ne se ressemblent pas : hier soleil, aujourd’hui neige mais cela n’a pas entamé notre courage et notre bonne humeur. Quelques chutes quand même…. mais on taira les noms (photos à l’appui). Gauthier, notre guide, comme Yohan hier, nous a fait partager sa passion pour la nature et les animaux sauvages.
Sylviane
Troisième jour 11 km, D = 381 m
Il a neigé durant la nuit ! Départ de La Cure. Balade suisse dans la poudreuse 👍
Briefing sur la reconnaissance des traces d’animaux (renard, hermine). Gauthier nous a expliqué la construction des maisons de berger dont le toit est fait de tavaillons (lamelles de bois) mais recouvert de tôles aujourd’hui moins chères. Les clous utilisés alors ont servi à fabriquer les premières montures de lunettes ! Pique-nique à la ferme des COPETTES ! Belle balade variée avec temps couvert mais clément !
Monique
Quatrième jour Matin 6 km D = 144 m, AM 5 km D = 129 m
Chandeleur sous neige et pluie. Rando du matin passant près de « la forêt du massacre » zone de protection du biotope dont le point culminant est le crêt Pela 1495m (anciennement forêt de la FRASSE avant l’an 1535 date du massacre des mercenaires italiens envoyés par François 1er.
Effectif réduit à 5 courageux l’après-midi.
Pour les autres piscine, shopping, crêpes…
Agnès et Alain
Cinquième jour 12 km D = 507 m
Notre guide Gauthier nous propose de monter à la Dôle, 1677 mètres d’altitude.
Beau temps qui nous permettra d’avoir une superbe vue sur le lac Léman sous les nuages et surtout sur toute la chaîne des Alpes. De la TOUGNETTE au mont CERVIN. Parcours pentu sur la fin, qui nous mettra en appétit.
Découverte des crottes de lièvres, paire ou impaires ?
Explications du guide, sur la raison du relief créé par la dameuse derrière son passage. Relief permettant, un apport de surface supplémentaire qui en contact avec l’air, évite le réchauffement de la neige et sa fonte.
La marcescence : cad les jeunes hêtres ne perdent pas leurs feuilles en hiver, seulement lors de l’éveil printanier.
Très belle journée clôturée avec magnificence grâce au pot d’anniversaire offert par pascale.
Arlette et Dominique
Sixième jour 12 km D = 278 m
Aujourd’hui, départ de Bois D’AMONT, près de l’église au clocher caractéristique et typiquement Franc-Comtois avec un cadran horaire présentant une symétrie et le même nombre de traits de chaque côté pour indiquer les heures. Randonnée dans le Val, le long des méandres de l’Orbe. D’un côté, la forêt de Noirmont sur l’ubac et de l’autre la forêt du RISOUX sur l’adret, partie ensoleillée. Le terrain est découpé en parcelles qui s’étendent toute en longueur : en haut la forêt pour le bois de chauffage, l’habitation, les pâturages pour les vaches, et en bas l’eau. Nous marchons le long de tourbières où l’eau acide permet de conserver tous les éléments (végétaux, animaux…) sans qu’ils se décomposent. Nous pique-niquons dans une cabane en bois, à l’abri du vent, le couvert des Combettes et repartons pour atteindre une roche et redescendre sur Bois D’AMONT.
Petite blague de Gauthier, notre guide : pourquoi les habitants de Bois d’Amont ont les oreilles décollées et le front plat ? Parce que lorsqu’il y a du vent et du bruit dans la maison, ils mettent leurs mains derrière leurs oreilles en disant « c’est quoi ce bruit ? « et après ils se tapent le front en disant « mais, bien sûr, c’est la bise »… Se tordre de rire…
Danielle et Nelly